LES VIOLENCES INDIRECTES.

Les violences indirectes se manifestent par l’exposition de tierces personnes
à des violences, par exemple les enfants, qui sont exposés aux violences
entre leurs parents. Elles ont nécessairement un impact sur la construction
de son identité.

L’enfant qui grandit dans un climat d’insécurité développe une grande détresse face aux violences.
Il ressent l’incompréhension et se sent impuissant face à la menace de voir mourir un de ses parents,
de mourir lui-même, ou d’être abandonné.

Tous ces signes doivent alerter les professionnel·les intervenant auprès des enfants, car il n’y a pas de fatalité.
"Protéger la mère,

c'est protéger l'enfant."

La violence verbale peut s’entendre. Si certains auteurs de violences vont élever le ton pour intimider leurs compagnes,
d’autres, au contraire, vont prendre une voix plus suave – la victime reconnaîtra bientôt cette tonalité dangereuse.
D’autres gardent leur timbre habituel mais abreuvent leur compagne d’injures, de menaces et de sarcasmes.

IL FAUT EN PARLER à une personne en qui vous avez confiance,
à un professionnel (médecin, assistant·e social·e, avocat·e) ou n’hésitez pas à nous contacter directement.
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Les violences physiques,
sexistes et sexuelles
sont interdites et punies
par la loi.

Je suis victime
Je suis témoin